Cercle de réflexion, groupe de pression, lobbyiste… les membres fondateurs d’I chjassi di u cumunu » sont venus, ce jeudi, à Portivechju expliquer le sens de leur démarche. « C’est un espace où des personnes d’horizons divers se rencontrent pour réfléchir et débattre des problématiques auxquelles est confronté le Peuple Corse » explique en préambule Vincent Gambini, de la jeune génération. A ses côtés des militants nationalistes de la première heure comme Pierre Poggioli, Paul Medurio, Max Simeoni et Antoine Marchetti.
Leur objectif est de regrouper des femmes et des hommes d’horizons différents, disposant de compétences multiples et ayant fait le choix d’une vie politique assainie, « les membres s’engagent à ne pas être candidat aux scrutins électoraux afin de lever toute ambigüité ». La ligne directrice est « la reconnaissance véritable de notre Peuple, de sa langue, de son histoire et de ses droits nationaux » précise Max Simeoni.
Leur objectif est de regrouper des femmes et des hommes d’horizons différents, disposant de compétences multiples et ayant fait le choix d’une vie politique assainie, « les membres s’engagent à ne pas être candidat aux scrutins électoraux afin de lever toute ambigüité ». La ligne directrice est « la reconnaissance véritable de notre Peuple, de sa langue, de son histoire et de ses droits nationaux » précise Max Simeoni.
Pression démocratique
Créer en Mars 2015, les membres fondateurs multiplient les réunions, « notre but est de rétablir ce lien indispensable entre les personnes en charge de notre avenir commun et le peuple pour lequel elles se sont engagées à œuvrer ». C’est un espace de travail, de propositions mais également un outil de « pression démocratique » assumé, « nous entendons peser dans le débat politique et nous l’affichons clairement ».
Publications
Régulièrement les membres se réunissent, un thème est proposé. Après des échanges
réglementés, « trois minutes par personne », des contributions sont émises, au bout du processus une synthèse est proposée et publiée. Déjà deux thèmes ont été publiés dont l’un sur l’économie insulaire. Analyse, tableau, propositions, perspectives sont détaillées sur 80 pages, « nous l’avons envoyé à tous les décideurs politiques, institutionnels et économiques de l’île » indique Vincent Gambini.
Créer en Mars 2015, les membres fondateurs multiplient les réunions, « notre but est de rétablir ce lien indispensable entre les personnes en charge de notre avenir commun et le peuple pour lequel elles se sont engagées à œuvrer ». C’est un espace de travail, de propositions mais également un outil de « pression démocratique » assumé, « nous entendons peser dans le débat politique et nous l’affichons clairement ».
Publications
Régulièrement les membres se réunissent, un thème est proposé. Après des échanges
réglementés, « trois minutes par personne », des contributions sont émises, au bout du processus une synthèse est proposée et publiée. Déjà deux thèmes ont été publiés dont l’un sur l’économie insulaire. Analyse, tableau, propositions, perspectives sont détaillées sur 80 pages, « nous l’avons envoyé à tous les décideurs politiques, institutionnels et économiques de l’île » indique Vincent Gambini.